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Je bois (comme d'habitude) du petit lait en lisant votre article. J'ai fait des études d'ingénieur (Génie Mécanique) avec une orientation finale en "conduite de projet" (autre terme possible pour chef de projet?). Je me souviens encore très bien du vertige qui m'a pris lorsque je me suis vu confier la conduite du projet sur lequel j'avais démarré ma carrière. Moins en raison de sa gestion à proprement parler, ma formation me permettant de bien appréhender le "task management", mais véritablement en raison de l'animation du groupe, de ces collaborateurs qui m'avaient vu grandir au sein de l'équipe... Le "relationship management" est à mon sens la principale difficulté, car elle est propre à chacun, et souffre du manque de spontanéité d'un chef pour qui ce n'est pas naturel. J'ai quitté cette société après 19 ans de bons et loyaux services, non pas à cause de sa situation financière désastreuse ou d'objectifs à atteindre plus qu'ambitieux, mais à cause de mon "chef" qui, à 45 ans pourtant, n'avait que les objectifs, le contrôle et le pouvoir en tête, quitte à envoyer toute l'équipe en Burn-out. D'ailleurs, puis-je vous suggérer un sujet pour une prochaine Newsletter? "Comment survivre à un management toxique?" Il y a de nombreux articles sur le sujet, mais je suis impatient de vous lire sur ce thème.

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Merci beaucoup Jordi pour ce témoignage. C'est vrai que la conduite de projet est un belle appellation aussi. Je retiens la suggestion du sujet à traiter. Je vais y réfléchir.

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